Résumée : Alors que Pitch, le maître de la peur, désire s’approprier la Terre, les gardiens de l’espoir doivent protéger les enfants des cauchemars qu’il provoque.
Au nombre des gardiens : un père Noël Russe armé de sabre, une Fée des Dents aux allures de colibris, un lapin de Pâques génétiquement rambotisé, et un marchand de sable muet (ce qui est visuellement très sympa dans un film). Ah, oui, et un gamin farceur amnésique nommé Jack Frost, puisqu’il symbolise le givre.
Visuellement, ce film est splendide (à partir du moment où je peux compter les pores d’une peau de synthèse je suis contente). Par contre, certains passages sont si rapides qu’on n’arrive pas à voir ce qui se passe même si on en saisit le sens global, et c’est bien dommage. Les animateurs ont passé du temps sur ces scènes, qu’ils nous les montrent !
L’histoire est assez simple (un peu trop parfois), et par instant incohérente ou trop rapide, mais elle est claire, amusante, et remplit tout à fait son office : divertir, et mettre du baume au coeur (j’ai bien rit, et pourtant je prends mes cours d’expression de soi auprès des portes de prison). Le message final est simple mais fort : il faut rester prêt à s’émerveiller pour vaincre la peur, et ne pas perdre espoir si on veut que ce dernier renaisse.
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Conclusion : Un bon divertissement familial, visuellement plaisant et que je recommande à tous (de préférence sur grand écran).
