À la Une : les journaux ont des oreilles ! Nouvelles de La Souffleuse d’essaims et des Défis Poétiques

Ce n’est pas un titre putacl- pardons, piège à clic, les journaux ont vraiment des oreilles ! Je vous en parle en troisième partie, mais pour commencer : voici des nouvelles de mon recueil de poésie, Défis Poétiques / Figures de style, puis de mon roman en cours La Souffleuse d’essaims.

Nouvelles des Défis Poétiques / Figures de style

J’ai terminé la rédaction et la mise en page de mon recueil de poèmes contemporains Défis Poétiques / Figures de style, et commence même à recevoir quelques réponses des maisons d’éditions auxquelles je l’ai envoyé. La plupart sont évidemment négatives, mais je vais tout de même partager ici cette pépite, qui m’a fait très plaisir. C’est agréable de recevoir une réponse agrémentée de commentaires précis. Merci aux éditions Baudelaire !

Maintenant que je vous ai enfin donné des nouvelles des Défis Poétiques / Figures de style, trêve de bavardages : je suis ici pour parler de La Souffleuse d’essaims.

La Souffleuse d’essaims, roman(ce) fantasy prévue pour Wattpad

Ce roman devait me servir à capter l’audience du site de publication en ligne Wattpad. Il respectait donc les critères qui attiraient un grand nombre de lectrices à l’époque : il s’agissait d’une romance, écrite au présent dans un style simple. Quelque chose de court et léger.

Ah ah.

Aha ah.

AHA AH AH AH AHhum.

Mes lecteur·rices ont certainement remarqué que j’ai du mal à rester dans la simplicité, et que mon esprit n’a de cesse de détourner les clichés pour mes les approprier de manière originale. Je m’en vanterais bien mais, comme c’est assez handicapant au quotidien, je vais plutôt faire l’impasse. Ce n’est pas forcément le moment de vous expliquer pourquoi mon poulpe est un sac…

Autre caractéristique de mes écrits : plus c’est drôle, plus c’est triste. Je tiens cela de Pennac, et de ses abricots aux petits oignons. Une histoire tragique de bout en bout, selon moi, est facile à lire dans l’humour. Et comme le thème de cet ouvrage, la dépression, me touche de près, j’ai naturellement opté pour une approche toute en légèreté.

Donc, à partir d’aujourd’hui et, je l’espère, assez vite, vous recevrez des nouvelles de La Souffleuse d’essaims et de ses fantômes.

La Souffleuse d’essaims, un nouveau journal en ligne ?

Parce que je suis incapable de faire les choses à moitié (en partie grâce à un poème de Prévert qui m’a traumatisée enfant), j’ai créée une mise en page dédiée aux articles relatifs à La Souffleuse d’essaims. Vous pourrez l’admirer pour chaque nouvel article à son sujet.

Je me suis amusée pour l’occasion à reproduire la Une d’un journal, bien sûr agrémentée à ma sauce (d’autant plus que les vrais journaux comportent trop d’informations par millimètres carrés pour mon cerveau, qui les trouve donc incompréhensibles). J’ai découvert que les journaux avaient non seulement des oreilles et un ventre, mais aussi un cheval en première page !

Et voilà pour les nouvelles. Ma fille vient de se réveiller, donc je vais aller lui faire des bisous. Au plaisir !